
Sophie Delong
Responsable de compte
Introduction
Point de démarrage, le sujet détermine quel aspect d’une discipline sera traité. Il est ainsi plus défini que la thématique et resserre les zones de recherches. Un mémoire doit toujours débuter par déterminer un sujet ; sa pertinence est essentielle pour la rédaction du document académique. Voici quelques exemples de sujets sur lesquels vous pouvez vous appuyer pour la rédaction de votre mémoire en écologie et environnement.
Top 20 de sujets pour un mémoire en écologie et environnement
Ebola : lien entre cette maladie émergente et la déforestation.
Il est dit que l’Ebola a pour hôtes naturels les chauves-souris frugivores, qui transmettent par la suite à d’autres animaux de la forêt. Avec la déforestation, les changements de foyers des animaux sont notables ; ils recherchent des zones sécurisées pour finir auprès des hommes. Il y a également la consommation illégale d’espèces protégées par l’être humain contribuant à la propagation du virus.
Gestion stratégique des sources d’eau dans les zones arides.
L’axe de recherche peut être : soit la mise en place efficace d’un système de récupération des eaux de pluie soit une meilleure analyse des stress hydriques dans les zones sèches.
Impact des habitudes culturelles sur l’environnement.
Dans certains pays, c’est la culture locale qui contribue directement à la destruction de l’environnement. On revoit ainsi ces coutumes et habitudes, comprendre leur signification et mettre en place des stratégies de sensibilisation face à la dégradation écologique.
Transformation des déchets organiques en biogaz dans les zones urbaines.
Jetés, les déchets ne font qu’empirer l’état dégradant de l’environnement. La transformation en biogaz est intéressante. L’étude peut analyser les freins techniques par rapport à la mise en place de ce système tout en considérant le potentiel énergétique du biogaz.
Biodiversité et les dégâts des feux de forêts.
Le fait le plus alarmant après un feu de forêt c’est la régénération complète « impossible » de la faune et de la flore. Est-il alors encore envisageable de retrouver les plantes pionnières ? Et sur quelle durée tout en considérant la probabilité qu’un autre feu soit déclenché pour X raisons.
Les dangers de l’écotourisme de masse.
L’écotourisme est un des ennemis des espèces en voie de disparition et des écosystèmes fragiles. Les sites protégés représentent des investissements importants, partiellement financés par l’écotourisme. Cependant, celui-ci contribue progressivement à sa destruction.
Importance de l’éducation à la préservation écologique.
Les comportements sont influencés d’une certaine manière par l’éducation. L’éducation contribue ainsi à la santé environnementale car on explique aux enfants comment la biodiversité fonctionne et quelle contribution elle apporte à la survie des espèces.
Réchauffement climatique et la fragilité des récifs coralliens.
Toutes espèces confondues vivent selon des conditions climatiques spécifiques. Le réchauffement climatique perturbe cet équilibre, comme c’est le cas des coraux. On peut par exemple évaluer leur résistance par rapport à la variation des températures et le changement radical de leur environnement.
Exploitation illégale des sables de plage et impacts sur l’environnement.
Certaines compagnies volent les sables des plages en grande quantité. Or, la plage est responsable de la qualité du sol et de l’air. Les prélèvements perturbent les courants marins et accélèrent l’érosion du littoral, ce qui menace l’habitat terrestre et les espèces qui y vivent.
Effets de l’agriculture intensive sur la fertilité du sol.
Sans repos, le sol perd sa richesse. On doit ainsi évaluer les pratiques intensives telles que la rotation des cultures et l’utilisation excessive des produits chimiques. L’idée peut s’axer sur le fait de trouver un compromis entre une agriculture saine et un sol riche sans impacter le côté socio-économique.
Déchets humains : menaces de mort pour les animaux marins.
Les animaux marins sont les premières victimes des déchets humains déchargés en mer. On se pose alors des questions sur l’efficacité des gestions des déchets et prend comme exemple la fragilité des organismes tels que les poissons ou les mollusques.
Rapport entre le cycle de vie des humains et les changements environnementaux.
Il y a cette théorie d’évolution de Darwin, expliquant l’importance de l’adaptation à l’environnement. Mais la dégradation de celui-ci impacte directement l’Homme. On peut se poser des questions sur la pertinence de cette théorie en comparant avec la réalité actuelle.
Défis climatiques et adaptation des zones urbaines.
Avec les changements climatiques, les grandes villes passent progressivement à des solutions vertes : aménagements végétaux, résilience des structures immobilières, etc. Il est important d’analyser ces méthodes d’adaptation en vue de transformer les métropoles en zones vertes protégées.
Concilier progression technologique et énergie verte.
A l’aube d’une ère où la technologie est quasi-dominante, les défis sont lancés par rapport à la politique de l’énergie verte. L’axe d’analyse peut se concentrer sur les solutions pour des matériaux biodégradables ou encore les technologies en faveur de la biodiversité.
Exploitation forestière et gestion durable des forêts.
La forêt constituant une ressource indispensable pour la production économique, il est important de souligner son importance pour l’environnement et les êtres vivants. Le mémoire peut se concentrer sur les pratiques durables et les services écosystémiques.
Les dépendances aux transports personnels.
En zone urbaine et périurbaine, les Hommes aiment conduire leur voiture personnelle. Pourtant, par des solutions plus économiques, on peut diminuer l’impact de la pollution sur l’environnement : transport multimodal, changement de mentalité et de comportements, etc.
Le recyclage et la politique du zéro déchet.
Cela concerne principalement les grandes zones industrielles dont les déchets sont cheminés directement dans la nature. En ce sens, elles peuvent se concentrer sur le recyclage et la symbiose industrielle. On peut par la suite déterminer les obstacles techniques empêchant l’application de ces méthodes.
Régénération des écosystèmes marins face à la surexploitation humaine.
Par souci de combler ses besoins, l’homme perturbe l’écosystème marin. Il faut ainsi déterminer la restauration de la vie marine et prendre un cas spécifique : les herbiers marins.
Présence de l’homme et changement des instincts et comportements naturels des animaux.
On parle surtout des zones protégées. Les animaux sont sensibles au moindre changement. Des modifications notables dans le comportement et instinct de survie sont à craindre face à la présence écrasante de l’homme : les animaux sauvages consomment des aliments transformés, cohabitation forcée avec l’homme (ex : les animaux sont forcés de partager les proies et les terres).
Non-respect de la reproduction des espèces marines à cause de la surexploitation.
Il est crucial d’évaluer le rapport entre les besoins humains et la reproduction des espèces marines. L’homme doit être en mesure de comprendre que les espèces marines respectent un cycle de reproduction qu’il ne faut pas perturber au risque de changer complètement l’écosystème.
Conclusion
Le sujet est le premier indice indiquant que vous êtes capable ou non de mener une recherche scientifique. Il aide à valoriser votre expertise et à vous concentrer sur des connaissances spécifiques en lien avec votre discipline. Le choix du sujet détermine également votre carrière professionnelle car c’est un tremplin pour une immersion dans le monde du travail, surtout sur le long terme.